« Reconnaître après une longue absence la rue, la route, le village, la maison, c’est connaître à nouveau la satisfaction d’avoir une maison… »
Harold Borland (Hal Borland) (1900 – 1978) Écrivain américain

Couverture réédition lorsque meurent les légendes – Gallimard
Cet écrivain a écrit un roman qui peut bien illustrer son propos : « When the legend die » que l’on traduit par « Lorsque meurent les légendes ». C’est l’un de ses romans écrit en 1963. Il a été réédité en 1996 chez Gallimard.
Un film de Stuart Millar, empruntant le même titre, reprend une partie du roman. Les acteurs principaux sont : Frederic Forrest, Luana Anders, Richard Widmark et Vito Scotti. Autre époque, autre lieu, mais pour le héros indien, un retour aux sources, même si c’est dans sa réserve… Je ne vous en dis pas plus !
C’est courageux de savoir revenir vers sa maison… A une époque, nos enfants étaient pressés de quitter le foyer, pressés de « vivre enfin », de voler de leurs propres ailes. Certains ont réussi et tant mieux !
D’autres ont échoués… Combien reviennent, osent revenir chez eux ?… Combien sont accueillis, combien sont rejetés ? L’échec combiné au rejet… Imaginez la suite…
Aujourd’hui, mon humeur est grise et je pense à ces jeunes sans foyers et aux sans abris en général… L’automne les accueille avec encore, soleil tiède et nature généreuse. Mais dans les villes ?
Qu’ont-ils dan la tête ? Les souvenirs d’un foyer ? D’une vie heureuse ? Je connais quelqu’un qui en sait un peu plus que moi… Vous connaissez Pascale-Madeleine ? Non ? Alors faites un p’tit tour chez elle …

Bandeau blog WordPress de Pascale Madeleine
Belle journée !
bonjour Mamie-jo
et on va commencer à parler de ces pauvres gens sans toit
à l’approche des grands froids..
alors que toute l’année de l’hiver au printemps
ils ont toujours les mêmes problèmes..
abri nourriture et sanitaire en manque constamment ..
bises et bonne journée..
Bonjour et merci Didier de ton passage…
Oui, de tous temps, l’histoire parle de ces période si dure pour les « pauvres gens », les « sans-abris », les « clochards »…
Les hivers passent, les étés tout aussi douloureux… Les constats restent qu’il y a toujours à faire…
Il faut déjà regarder autour de soi, parfois si proche !
Mes amitiés ensoleillées.
bises
Mamie-Joelle
Florence – Histoires de Crise – Testé pour vous – Bélier en Crise
Bonjour..Merci pour ton commentaire…oui, la musique de blood diamond est fabuleuse, j’adore (le film aussi)…cette histoire…ça m’émeut toujours autant.
Pour les jumeaux, oh oui, c’est du vécu…2 fois..2 fois des jumelles…J’ai imaginé lorsqu’elles se sont croisées au tout début de leur périple…elles sont arrivées, ont navigué, sont allées vite puis ont creusé et se sont dit au revoir, à dans 9 mois..puis lorsqu’elles sont nées avec elles est arrivée la complicité, l’amour…J’ai vu tout ça 2 fois…J’ai adoré. Avoir des jumelles, c’est fatigant (surtout lorsque ce sont les 3ème et 4ème enfants, puis les 7ème et 8ème) mais j’ai adoré les voir se regarder, se parler sans ouvrir la bouche…elles ont une complicité et pourtant mes 4 jumelles ne sont pas de vraies jumelles. J’imagine ce que c’est lorsqu’elles sont vraies, ça doit être sublime et déroutant à la fois. Voilà, j’ai tout raconté dans ce roman de commentaire. A très très bientôt
Heu… Sur le c.. Deux fois des jumelles ??? Et quelle famille ! Il y a toujours de l’ambiance dans les grande famille…Bravo Florence…
Je réponds à tes deux messages.
Je souhaite à ton fils de « trouver sa voie » et que ta patience lui aura été utile…
A bientôt, mais la période n’était pas très favorable aux écrits… Cela reviens doucement !
Amitiés
Joëlle
Et j’en ai oublié de commenter ton article…quel manque de savoir vivre, surtout qu’il m’a intéressé. J’ai pensé à mon fils qui est parti voilà peu de temps puis est revenu, puis reparti, puis revenu, puis encore reparti…j’attends la suite. Mais lui sait qu’il a toujours un foyer qui l’attend, sa maman. Mais j’en ai connu tant d’autres qui se retrouvaient à la rue alors qu’ils ne voulaient pas partir ou tentaient de revenir. J’ai travaillé avec les jeunes, les enfants aussi. Pas facile la vie de certains. Un départ si mauvais, dès la naissance ou dès l’enfance. J’ai aussi connu des enfants qui étaient placés dans des familles d’accueil. Le jour de leurs 18 ans, allez, dehors. La famille n’est plus payée, donc dehors le gosse, on ne veut pas de toi, démerde toi…et hop, vas réussir ta vie après ça…allez, j’arrête, si tu n’as déjà pas trop le moral, pas la peine que j’en rajoute hein…je vais sur ton autre blog, voir si tu as mis de nouvelles photos
du courage pour partir encore plus pour revenir…j’en sais quelque chose….Je cours voir le lien amitiés
Bonsoir toi… Dis m’en plus… Je te connais ? Derrière ce mot, errances qui y a-t-il ???
A bientôt, peut-être, et merci pour ta visite au lien…
Belle soirée !
Bonsoir Joëlle
un bien grand débat, le fait de quitter le nid vient de plusieurs raisons et tu en subodores les principales, certains le paient très cher et parviennent à un point de non retour.
Pour ma part, je l’ai fait très jeune, mais surtout pour partir faire ma vie avec à chaque fois des retours au foyer, mais avec des espaces de plus en plus longs, puisque je prenais du recul et de l’assurance pour préparer mes nouvelles tentatives.
J’ai donc été sans abris pour ne pas dire clochard, se serai un bien grand mot, surtout qu’a l’époque, on avait le système D très pointu, une jeunesse accueillante (on dormait souvent dans des apparts à une quinzaine de zonards) et quand il nous venait l’envi de travailler, le boulot ne manquait pas et si tu montrais de la volonté, (on en était pas aux longs CV imbéciles et surtout aux lettres de motivation complètement inutiles puisque recopier sur le Net ou tout simplement dictées par un ami ou la famille) et bien on pouvait travailler sans problème et tout simplement faire ses preuves, ce qui m’a fait faire le tour de France et même des pays Européens, en exerçant différents métiers et en faisant ma vie de bohème bien entendu (rire)
J’ai souvent dormi à la belle étoiles (heu, plus souvent sous la pluie) et mangé des bouts de pain secs, j’ai même fouillé dans les poubelles, enfin, j’étais malin, des poubelles de traiteurs qui jetaient gras et que je surveillais de près pour avoir du « tout frais »
Puis j’ai rencontré ma première femme et elle m’a appris la stabilité et l’amour du travail, comme quoi grâce à elle j’ai pu suivre le début d’une carrière exemplaire.
Ce qui fait que je relativise quand je vois les sans-abris et du reste, je connais très bien Pascale-Madeleine avec qui je communique depuis maintenant plusieurs années.
Bon, j’étais venu te souhaiter ton anniversaire, mais ce billet m’a interpellé.
Alors très bon anniversaire ma Joëlle
Je t’embrasse de tout mon cœur.
Le Noctamplume
PS: j’étais très bien chez mes parents (décédés maintenant) et je ne leur reproche rien, j’ai été aimé et je les ai aimé, mais je voulais vivre autre chose et depuis tout petit, l’appel « du large » m’attirait. Très tôt j’ai fugué.
Florence – Histoires de Crise et Testé pour vous
Bonjour…J’espère que le moral est aux mieux…Moi, ça va, j’ai mes petites filles à la maison pour les vacances…ça met encore plus d’animation que d’habitude…Mon fils…ah mon fils, un roman à lui tout seul. Il est en Guadeloupe. Ce qui est bien avec mon opérateur téléphone, c’est que les appels vers les mobiles en Guadeloupe sont gratuits..alors tu penses bien que je ne me gêne pas pour l’appeler. Il va super bien, profite un max…et j’en profite avec lui car nous parlons de mer, de poissons, de harpon, de lunettes…bref, de tout et de rien, mais surtout de tout.
A très très bientôt et avec le moral hein
Bonjour Florence,
Merci pour ton passage chez moi… Etait un peu occupée alors, je tarde à répondre.
Je monte sur Paris vers le 11 novembre où je verrais mes petits enfants… Enfin… C’est bien long depuis les dernières vacances.
Quand à mes enfants… Une trop longue histoire…
Je ne vais pas trop sur ton blog (Histoire 2 de crise) car à chaque fois que je m’y rends, une fenêtre publicitaire s’ouvre, à chaque clic aussi… Est-ce normal ? Tu es peut-être rémunérée pour cette pub ?
J’ai quand même vu ton billet pour le mulot… Moi qu suis à la campagne, depuis que j’ai rencontré Follette, petite chatte croisée siamoise, et qui a bien voulu partager ma vie, les souris ont pris leurs valises, leurs cliques et leurs claques et pff ! Elles ont pris la poudre d’escampette…
Par contre, « J’ai Testé la Poésie en famille…Monde de brutes ! », j’ai adoré… J’ai partagé sur FB ! MDR…
Allez, à bientôt Florence,
Le moral, ça va !
Amitiés.
Joëlle
Je découvre sur ce blog des textes et des poèmes chargés de nostalgie, de romantisme, de tendresse inquiète à l’égard du prochain, du devenir. L’amour est là palpable qui tente de repousser toutes les limites…
Je reviendrai.
Bonjour Carmen et merci pour ce bien gentil commentaire.
L’écriture comme « exutoire » à la colère, la peine, le manque, les ratages…
Mais aussi comme de bons moments de partages, d’amitié, de plaisir et de joies !
A bientôt !
Joëlle